Le régime de Kinshasa est un cancer à éradiquer. Ce pouvoir est une mafia d’État, une clique de prédateurs sans foi ni loi. Ils pillent, ils tuent, ils divisent. Ils ne gouvernent pas, ils oppriment. Ils ne servent pas la nation, ils s’en servent.
Le Congo est en train de mourir sous leurs bottes. Le peuple vit l’enfer pendant qu’une poignée d’usurpateurs s’enrichit. Nos enfants crèvent, nos provinces brûlent, notre dignité est piétinée. Ce régime transforme la misère en arme politique.
Je refuse de rester spectateur.
Je choisis la confrontation.Ils veulent me faire taire ? Je parlerai plus fort. Ils veulent m’arrêter ?
Qu’ils essaient. Je suis militaire, je suis patriote, je suis prêt. Et je ne suis pas seul.
Goma sera le début de leur fin.Ma présence suffit à les faire trembler. Ils savent que leur temps est compté. Ce voyage, ils le craignent plus que mille discours. J’irai, et j’irai sans compromis.
Ce régime doit tomber. Et il tombera.Par la rue s’il le faut. Par la volonté du peuple. Par la colère des opprimés. Le Congo n’est pas leur propriété privée. L’heure du renversement est venue.
Nous avons un plan pour reconstruire, pas pour négocier avec les fossoyeurs.12 mesures claires : restaurer l’État, désarmer les milices, balayer la corruption, expulser les troupes étrangères. Il ne s’agit plus de réformer, mais de renverser et rebâtir.
Peuple congolais, debout ou esclave !Il n’y a plus de neutralité possible. C’est eux ou nous. C’est la dictature ou la liberté. Nous n’avons plus le luxe d’attendre. La résistance commence aujourd’hui.”,
a écrit L’opposant Franck Diongo